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Cognition et Physiopathologie dans les ganglions de la base
Notre équipe utilise une approche translationnelle, des rongeurs et primates non-humains aux patients parkinsoniens et usagers de drogue, afin de mieux comprendre le rôle des ganglions de la base (GB) dans des processus cognitifs, la motivation et les troubles du contrôle des impulsions, que ce soit lors de comportements normaux ou pathologiques, comme l’addiction ou les désordres impulsifs. Nous utilisons des techniques comportementales, pharmacologiques, optogénétiques, électrophysiologiques et techniques d’imagerie diverses.
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Notre équipe utilise une approche translationnelle, des rongeurs et primates non-humains aux patients parkinsoniens et usagers de drogue, afin de mieux comprendre le rôle des ganglions de la base (GB) dans des processus cognitifs, la motivation et les troubles du contrôle des impulsions, que ce soit lors de comportements normaux ou pathologiques, comme l’addiction ou les désordres impulsifs. Nous utilisons des techniques comportementales, pharmacologiques, optogénétiques, électrophysiologiques et techniques d’imagerie diverses.

RECHERCHE

Notre équipe utilise une approche translationnelle, des rongeurs et primates non-humains aux patients parkinsoniens et usagers de drogue afin de mieux comprendre le rôle des ganglions de la base (GB) dans la cognition, motivation et les processus de contrôle d’inhibition, que ce soit lors de comportements normaux ou pathologiques, comme l’addiction ou les désordres impulsifs.

Chez la souris et le primate non-humain, nos travaux s’intéressent au rôle des interneurones cholinergiques du striatum et à leurs interactions avec le système dopaminergique par des approches associant optogénétique, électrophysiologie et comportement. Chez le rat, nous étudions principalement le rôle du noyau sous-thalamique (NST) et son réseau cérébral (voie cortico-NST notamment) dans l’addiction à la cocaïne ou l’alcool, en appliquant la stimulation cérébrale profonde (stimulation à haute fréquence, SHF) ou des manipulations optogénétiques, voire des enregistrements électrophysiologiques ou photométriques par fibre chez l’individu seul ou en présence d’un congénère.

Rat travaillant pour s’auto-administrer de la cocaïne en présence d’un congénère dont on fait varier l’identité (D’après Giorla et al 2022)

L’approche clinique combine des études comportementales, électrophysiologiques et d’imagerie. Nous réalisons des enregistrements de l’activité neuronale ainsi que de l’imagerie fonctionnelle chez des patients parkinsoniens ou usagers de substances (psychostimulants ou alcool) et nous étudions les effets cliniques de la SHF du NST sur l’état motivationnel des patients parkinsoniens présentant ou non un trouble de l’impulsivité.

Notre approche multi-espèces vise à améliorer notre compréhension du fonctionnement des GB dans les processus motivationnels et cognitifs, à travers l’utilisation de techniques complémentaires chez l’animal normal, dans des modèles animaux de pathologies et chez le patient.